Mon Premier Voyage De Femme « Libre » 19° Partie
Vendredi
Au matin, je sentis Jeff qui se levait, ce qui me réveilla. Javais les cheveux en bataille. Une grosse journée mattendait. Je devais récupérer les affaires de Paul, visiter un magasin de meubles près du Chatelet, ranger lappartement de mon fils, et toutes les surprises que Paris pouvait moffrir avant mon départ.
Jeff sétait déjà rasé et douché. Il me proposa daller dans la salle de bains avant de prendre le petit déjeuner qui nous serait servi dans la chambre.
Quand je sortis en peignoir de la salle deau, je trouvais le petit déjeuner servi et ma robe nettoyée sur le lit.
Tandis que nous préparions nos tartines, Jeff me parla dun rêve érotique quil avait fait cette nuit. Jattendis quil ait fini de parler pour lui avouer ma petite gâterie, et comment javais abusé de lui pendant son sommeil.
Jeff éclata de rire. Tu es impayable ma jolie Éva. Quelle chance jai eu de te trouver sur mon chemin. Jespère que nous aurons loccasion de nous retrouver régulièrement à Montpellier. Tu es faite pour aimer !!!
Il mavoua avoir posé son téléphone pour filmer nos ébats hier soir et quil enverrait le film à Paul.
Nous descendîmes ensemble et nous nous séparâmes au pied de lhôtel. Jeff était trop pressé pour me déposer chez mon fils. Je pris un taxi.
Jenvoyais un sms à Paul pour le prévenir et pour lui dire que je lappellerais dès que je serai à lappartement.
Aussitôt arrivée, jenlevais ma robe Kenzo et me préparais un café que je pris sur le balcon ensoleillé. La température était déjà douce. Je fis quelques selfies que jenvoyais à Paul avant de lappeler en FaceTime.
Paul était très content de mon appel et de me voir nue sur le balcon. Il était ravi pour ce qui marrivait. Il avait hâte de me retrouver. Il narrêtait pas de me dire que je lui manquais et quil maimait.
Il se calma aussitôt que je lui fis les confidences de mes aventures de la veille.
Tandis que je racontais lépisode dans le restaurant avec Jeff, japerçus un voisin qui mobservait. Il avait des jumelles et semblait se caresser
Je le dis à Paul tout en retournant mon téléphone vers limmeuble den face. Mon mari mencouragea à mexhiber et à poursuivre la suite de mon récit.
Tout cela mémoustillait. Je pensais aux derniers moments passés avec Jeff. Je fermais les yeux et me caressais en parlant. Javais mes doigts et mon sexe trempés. Le carillon de la porte dentrée sonna et me sortit de ma torpeur. Qui pouvait venir ? Yves ? Il maurait prévenue. Jattrapais une serviette de bain avant daller ouvrir.
Je ne reconnus pas de suite lhomme qui se trouvait devant moi. Il se présentait avec des croissants. « Je vous ai vue à la fenêtre prendre votre café. Jhabite en face. Je me suis que cela pouvait être sympa de prendre une tasse ensemble et jai pris quelques viennoiseries avant de monter. »
Me voyant sans réaction. Il ajouta « Je peux entrer ? »
Il était plutôt mignon. Une trentaine dannées. Un brun tout bouclé. Son sourire me fit craquer et je le laissais entrer.
Je lui proposais de sasseoir sur le balcon pendant que je préparerais le café. Jajoutais que je devais mettre quelque chose de plus décent pour recevoir convenablement mon invité.
« Oh, ce nest pas nécessaire. Vous savez, votre corps ne mest pas inconnu. Vous êtes trop belle. Cest pour cela que je suis venu. Je tenais absolument à vous voir plus près et je ne suis pas déçu. »
Il était craquant.
Ma serviette ne cachait pas grand-chose, mais je ne pouvais pas reculer.
« Je mappelle Alain et vous, quel est votre prénom ? »
« Éva ? Ce prénom espagnol vous va à merveille. Vous avez des origines ibériques ? »
Pendant que nous dégustions, nous parlions de tout et de rien.
Alain se leva pour sapprocher de la rambarde. Croyant que je ne lavais pas vu il me montra la fenêtre de son appartement. Je me levais pour regarder. Il y avait une superbe verrière sur le côté.
« Oui, cest mon atelier. Je suis peintre. Cette verrière moffre une superbe lumière pour travailler. »
Je lui parlais de Paul, mon mari photographe qui aurait adoré avoir un tel atelier pour ses photos.
« Éva, il faudra absolument que vous veniez voir mon atelier dartiste. Jadorerais vous peindre. Vous êtes si sexy. »
Tout en parlant, Alain sapprocha de moi et vint se positionner derrière. Il posa ses mains sur mes épaules. Un frisson me traversa tout le corps. Malgré la douceur de la température, javais la chair de poule. Je pouvais sentir son souffle dans le cou.
Ses mains descendirent jusquà mes hanches. Mon sexe était déjà trempé de désir. Voyant mon absence de réaction, il saventura davantage. Il membrassa dans le cou. Ses mains descendirent pour atteindre ma peau nue quil caressa. Sa peau était douce. Je me surpris à me cambrer tout en écartant les cuisses.
Alain sen aperçut et je sentis ses doigts écarter mes fesses pour atteindre ma vulve trempée. Il me poussa à me cambrer davantage pour que ses doigts puissent soccuper de mon bouton gonflé de désir. Il ne fallut que quelques pressions pour que jouisse une première fois. Je serrais fort les cuisses et emprisonnais fermement sa main pour garder ma jouissance encore quelques secondes.
Alain se servit de son autre main pour venir empaumer mon sein gauche et titiller mon téton gonflé et durci par le désir.
La serviette tomba. Jétais nue sur le balcon avec un coquin très excité derrière moi.
« Oh Éva
» Il me pénétra dun coup. Jétais surprise sous lassaut. Son pieu était large. Il me détendait la chatte. Il resta ainsi un moment. Il était bien en moi. Il savait que javais besoin de temps pour madapter à sa queue hors norme. Sa main, me caressait toujours le clito. Mes jambes flageolaient.
Mon amant le comprit et resserra son étreinte. Ce qui eut pour effet de faire pénétrer son engin encore de quelques centimètres.
« Oh Alain
Doucement. Oui, cest bon. Prends-moi maintenant. » Mentendis-je dire en ondulant sensiblement des hanches.
Mon invité répondit aussitôt à mon invitation et commença à bouger dans mon étui serré et dilaté par son pieu. Peu à peu, ses va et vient se firent rapides et puissants ; violents même. Un vrai bucheron. Je nen pouvais plus. Ma tête partait dans tous les sens. Mes seins étaient meurtris par ses mains et ses doigts. Alain était endiablé, excité par la situation certainement : faire lamour sur le balcon.
Épuisée, je lui fis signe de calmer ses ardeurs. Je lui demandais de sasseoir. Son sexe toujours plongé dans mon vagin. Ce fut à mon tour de prendre linitiative. Je montais et glissais sur son pal épais. Mes muqueuses le caressaient dans un va et vient moins violent, mais tout aussi excitant. Jétais maitre du jeu et cela me plaisait. Je faisais lamour à mon rythme et je pouvais sentir mon vagin se contracter et ma jouissance arriver lentement, mais sûrement. La chair de poule couvrait tout mon corps. Ma tête basculait de gauche à droite comme une possédée.
Enfin, le tsunami salvateur arriva. Je me raidis et me contractai pour atteindre la jouissance ultime qui me tétanisa violemment.
Alain prit dans la tourmente ne put résister et je sentis des jets libérateurs minonder le vagin.
Je repris mes esprits.
Je vis la mine surprise de mon amant.
« Cest pour mon mari Paul. Je ne lui cache rien. Je te le présenterai un jour quand on viendra visiter ton atelier. »
Je basculai en arrière pour mallonger contre Alain et reprendre mes esprits. Son pieu toujours en place. Alain ma caressa tendrement, puis tourna autour de mon bouton pour voir sil était toujours aussi sensible. Ses doigts agiles menvoûtaient. Je me sentis bouger les hanches pour profiter encore un peu de la queue de mon invité. Je sentis celle-ci reprendre de la vigueur.
Je me séparai de mon amant pour le prendre en photo. Son sexe bien dur et encore plus large que je lavais imaginé. Je déclenchais la fonction vidéo avant de me mettre à genoux pour prendre en bouche ce pieu hors norme. Mes mains narrivaient pas à en faire le tour. Que dire de ma bouche, face à ce gland disproportionné.
Je mappliquais à lécher cette tige de chair, de bas en haut, tout en tétant tant bien que mal le gland gonflé de désir sont les effluves me rappelaient le plaisir qui mavait envahi il y a si peu de temps. Un mélange de ma cyprine et du sperme de mon amant. Ces sensations olfactives menivraient. Ma bouche put enfin absorber la tête de cette tige dressée. Je suçais maladroitement, mais amoureusement ce gland qui vibrait sous mes coups de langue.
Ne pouvant pas aller au-delà, Alain, certainement habitué par son « handicap » se branla devant mon visage. Jinterrompais parfois ses caresses pour reprendre le gland dans ma bouche. Jen profitais pour renouveler lexpérience vécue avec Jeff. Je glissais un doigt dans son anus pour le stimuler. Ma pénétration déclencha la jouissance de mon amant qui gicla sur mon visage avant de diriger son sexe vers ma bouche pour que je puisse déguster sa crème. Ce que je fis en le regardant droit dans les yeux.
Son gland bien nettoyé par mes soins, je me levais prestement, attrapant la serviette au passage. « Je vais nous refaire un café. Quen penses-tu ? »
Alain, encore sous leffet de son plaisir ne put me répondre.
Quand je revins sur la terrasse, Alain était en train de remettre de lordre dans ses vêtements. Je lui fis passer le rouleau de Sopalin pour quil évite de tacher son pantalon.
Le second café fut plus tranquille.
Je mis Alain à la porte car je devais mactiver. La journée était chargée. Il mécrivit son numéro de téléphone sur un papier et membrassa passionnément avec un grand « Merci Évita pour ce moment damour inopiné. Jespère te revoir très bientôt. Noublie pas ta promesse de revenir visiter mon atelier. »
« Merci beaucoup Alain à toi aussi. Les choses se font à deux
«
« En attendant que je revienne, je te propose de choisir quelques photos avec Paul pour te les envoyer. Elles tinspireront peut être pour un tableau. »
Après un dernier baiser, je fermai la porte.
Je me servis un verre de jus dorange avant décrire un mot à Paul avec quelques photos pour illustrer mon récit. La vidéo était trop lourde pour lenvoyer. Je la donnerai à Paul à mon retour.
Allez, direction la salle de bains. Javais du sperme dans les cheveux, ainsi que des coulures entre les cuisses. Quelle quantité de sperme mavait giclé ce coquin. Jétais impressionnée.
Quand je sortis de la douche, je vis plusieurs sms affichés sur mon téléphone. Yves, Paul et Jeff.
Yves voulait avoir des nouvelles. Il me demandait si on pouvait se voir avant que je reparte.
Je lui répondis que jétais trop occupée. Que cette semaine était passée trop rapidement, mais que je reviendrais, ou bien viendra-t-il passer quelques jours chez nous à Montpellier.
Pour le faire bisquer, je joignis une photo où jétais avec Alain dans une position sans équivoque.
Paul me remerciait pour mes messages. Il me rappelait quil maimait plus que tout et quil avait hâte de me retrouver.
Jeff me remercia encore pour cette nuit. Il me confirma que la voiture serait prête ce soir et que nous pourrons descendre ensemble à Montpellier.
Il me proposa de me retrouver demain matin à sept heures en bas de limmeuble.
Je lui répondu que jétais folle de joie pour la Mini et que je serai prête demain matin. Je terminais en lui confiant que jétais contente de passer la journée auprès de lui.
Javais à peine terminé que je reçus une avalanche de sms dYves tout excité et qui me disait que je ne pouvais pas partir sans lavoir revu.
Je mhabillais dune petite robe légère. Je ne voulais pas abîmer ma Kenzo. Une petite photo sur le balcon avec ma robe relevée pour Paul. Alain, à sa fenêtre me fit de grands signes. Je lui envoyais des baisers avant de refermer la fenêtre et quitter lappartement.
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